Du
coin de ma rue
C’était
souvent un signe de la main
À
notre passage ce patriarche avec sa canne
Sa
démarche pleine de douleurs
Toujours
un sourire et quelques mots sur le temps
Ou
l’histoire du village. Il a vécu les transformations
De
restauration du château, du bout de son jardin
Dès
que le temps lui donnait l’occasion
Une
chaise, son journal, dont il épluchait les nouvelles
Avant
de le donner à son voisin
Son
départ sera un chagrin pour un grand nombre
Ce
qui prouve, l’affection pour ce Castelévissien
Une
place LA-HAUT pour vous, avec un regard
Sur
les « pêcheurs » que nous sommes !
Plumauvent81
Plumauvent81
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