Dans ces chantiers, les bénévoles - qui ont globalement entre 16 et 25 ans - feront de la maçonnerie, de la taille de pierre... et seront libres de découvrir les charmes du terroir! «Faire un chantier, c’est vraiment se sentir en contact direct avec le patrimoine, puisqu’on peut le toucher. En y travaillant, on a l’impression d’y laisser un peu de nous, une marque dans le temps, inoubliable», explique Amandine, étudiante à l’école du Louvre, qui a participé à la rénovation du château de Ranrouët, en Loire-Atlantique. Et surtout, on y fait des rencontres. Sans ce chantier, Amandine n’aurait peut-être jamais rencontré Anne-Camille, étudiante en Droit à la Sorbonne.
dimanche 5 juillet 2015
Ces jeunes qui restaurent chaque été le patrimoine français
Dans ces chantiers, les bénévoles - qui ont globalement entre 16 et 25 ans - feront de la maçonnerie, de la taille de pierre... et seront libres de découvrir les charmes du terroir! «Faire un chantier, c’est vraiment se sentir en contact direct avec le patrimoine, puisqu’on peut le toucher. En y travaillant, on a l’impression d’y laisser un peu de nous, une marque dans le temps, inoubliable», explique Amandine, étudiante à l’école du Louvre, qui a participé à la rénovation du château de Ranrouët, en Loire-Atlantique. Et surtout, on y fait des rencontres. Sans ce chantier, Amandine n’aurait peut-être jamais rencontré Anne-Camille, étudiante en Droit à la Sorbonne.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire