Mais là où le bât blesse, c'est qu'en métropole, bien qu'on ait, par l'intermédiaire indirect de nos impôts, payé une part des travaux engagés, on ne peut pas bénéficier de la retransmission libre des rencontres. Lesquelles ont été concédées à une chaîne payante privée. De plus, si je ne m'abuse, il s'agit là d'un match de l'équipe de France. Ce qui, par définition et selon la tradition, doit le rendre télévisuelle accessible à tous.
samedi 5 mars 2016
Coupe Davis limitée...
On a dépensé un fric fou (plus de trois millions d'euros, je crois)
pour installer en Guadeloupe les cours de tennis nécessaires au
déroulement, là-bas, du match de Coupe Davis que la France devait livrer
au Canada. Mais, bon, on ne pouvait rien refuser à Noah et, après tout,
la Guadeloupe méritait bien qu'on organise chez elle un évènement
sportif de cette importance.
Mais là où le bât blesse, c'est qu'en métropole, bien qu'on ait, par l'intermédiaire indirect de nos impôts, payé une part des travaux engagés, on ne peut pas bénéficier de la retransmission libre des rencontres. Lesquelles ont été concédées à une chaîne payante privée. De plus, si je ne m'abuse, il s'agit là d'un match de l'équipe de France. Ce qui, par définition et selon la tradition, doit le rendre télévisuelle accessible à tous.
Mais là où le bât blesse, c'est qu'en métropole, bien qu'on ait, par l'intermédiaire indirect de nos impôts, payé une part des travaux engagés, on ne peut pas bénéficier de la retransmission libre des rencontres. Lesquelles ont été concédées à une chaîne payante privée. De plus, si je ne m'abuse, il s'agit là d'un match de l'équipe de France. Ce qui, par définition et selon la tradition, doit le rendre télévisuelle accessible à tous.
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