On connaît bien Robert Plageoles, le vigneron gaillacois attaché aux
cépages autochtones qu’il a été le premier à remettre en avant, ouvrant
un large espace aux amateurs de prunelart et verdanel notamment, et
renouant ainsi avec une tradition qui faisait des Gaillac des vins
recherchés par les têtes couronnées d’Europe.
Mais Robert Plageoles se passionne aussi pour la
recherche ampélographique et il participe régulièrement aux éditions
d’ouvrages sur ce sujet et à de nombreux colloques. Ses recherches sur
la vigne sauvage (vitis vinifera sylvestris) l’ont amené jusqu’à la
forêt de Grésigne où les pieds en forme de liane recherchent la lumière.
Conférence toujours aussi intéressante avec Robert Plageoles.
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