Le président français s’est avancé vers le pied du glacier
Solheimajökull.
Qui ressemble aujourd'hui
davantage à une crevasse. Devant les caméras et photographes, l'instant
s’est voulu solennel. «La disparition du glacier, c'est aussi la
disparition de l'Histoire», lâche-t-il. «Je suis très pessimiste sur les
effets du réchauffement.qui ressemble aujourd'hui
davantage à une crevasse. Devant les caméras et photographes, l'instant
s’est voulu solennel. «La disparition du glacier, c'est aussi la
disparition de l'Histoire», lâche-t-il.
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