On avait envie que les choses changent. La vie devenait trop difficile. Nous avons alors viré N. Sarkozy et sa néfaste politique ultralibérale pour élire F. Hollande, le champion de la gauche. Lequel nous promit alors de se mettre, lui, au service exclusif du peuple. Mais, hélas, peu à peu, on a dû déchanter. Le nouveau président n'a pas tardé à se vêtir des habits de son prédécesseur, piétinant sans honte les valeurs de son parti, celles qui prônent, par exemple, le partage, le respect du travail ouvrier et la prise en compte privilégiée des plus fragiles. Mais, bon, on se disait qu'il n'irait tout de même pas jusqu'à mettre le Code du Travail au quasi-service des patrons. Eh ben, c'est fait ! Au total, en tant qu'électeur de gauche, j'estime avoir été floué, voire escroqué, quand, en 2012, j'ai voté pour cet Hollande-là. Mais, quoi qu'il arrive, il ne m'aura pas deux fois.
On avait envie que les choses changent. La vie devenait trop difficile. Nous avons alors viré N. Sarkozy et sa néfaste politique ultralibérale pour élire F. Hollande, le champion de la gauche. Lequel nous promit alors de se mettre, lui, au service exclusif du peuple. Mais, hélas, peu à peu, on a dû déchanter. Le nouveau président n'a pas tardé à se vêtir des habits de son prédécesseur, piétinant sans honte les valeurs de son parti, celles qui prônent, par exemple, le partage, le respect du travail ouvrier et la prise en compte privilégiée des plus fragiles.
RépondreSupprimerMais, bon, on se disait qu'il n'irait tout de même pas jusqu'à mettre le Code du Travail au quasi-service des patrons. Eh ben, c'est fait !
Au total, en tant qu'électeur de gauche, j'estime avoir été floué, voire escroqué, quand, en 2012, j'ai voté pour cet Hollande-là. Mais, quoi qu'il arrive, il ne m'aura pas deux fois.