De passage au Salon du
livre, François Hollande a fait un petit tour de stands en stands. Entre
deux mondanités, Le chef de l’Etat en a profité pour faire une petite
boulette.
Forcément,
lorsqu’on est Président de la République et qu’on se rend au Salon du
livre, on révise un peu ses classiques juste avant et on se fait
souffler par ses conseillers deux ou trois nouveautés qu’il est de bon
ton d’avoir lues. Ou d’avoir fait semblant de lire.
François Hollande s’est rendu samedi au salon, entouré d’un solide staff.
Evidemment, les caméras du Petit Journal de Canal Plus l’ont suivi à la trace.
Le chef de l’Etat a serré de nombreuses mains, discuté avec des enfants (dont un petit garçon qui était très étonné que les livres soient gratuits pour le Président), il a appris que les deux écrivains préférés des français étaient Victor Hugo et Marc Levy et a confié face caméras qu’il lisait actuellement trois ouvrages.
Il s’est ensuite dirigé vers le pavillon réservé à la littérature brésilienne, invitée d’honneur de cette 35ème édition.
Un des éditeurs présents a alors tenu à lui offrir un livre de João Guimarães Rosa. « C’est un grand livre de la littérature brésilienne que nous avons édité il y a plusieurs années », lui explique l’homme. « Ah, et c’est un auteur brésilien ? Et il est venu ? Il vient ? », s’enquiert alors François Hollande. « Ah ben non, il est mort », lui répond l’éditeur. « Ah, il est mort… », répète alors gêné François Hollande. Raté pour la dédicace…
François Hollande s’est rendu samedi au salon, entouré d’un solide staff.
Evidemment, les caméras du Petit Journal de Canal Plus l’ont suivi à la trace.
Le chef de l’Etat a serré de nombreuses mains, discuté avec des enfants (dont un petit garçon qui était très étonné que les livres soient gratuits pour le Président), il a appris que les deux écrivains préférés des français étaient Victor Hugo et Marc Levy et a confié face caméras qu’il lisait actuellement trois ouvrages.
Il s’est ensuite dirigé vers le pavillon réservé à la littérature brésilienne, invitée d’honneur de cette 35ème édition.
Un des éditeurs présents a alors tenu à lui offrir un livre de João Guimarães Rosa. « C’est un grand livre de la littérature brésilienne que nous avons édité il y a plusieurs années », lui explique l’homme. « Ah, et c’est un auteur brésilien ? Et il est venu ? Il vient ? », s’enquiert alors François Hollande. « Ah ben non, il est mort », lui répond l’éditeur. « Ah, il est mort… », répète alors gêné François Hollande. Raté pour la dédicace…
Pour interpréter l'image proposée, entièrement d'accord :
RépondreSupprimer- On l'appel Président et comme le camembert il est à 11 %
- Il est très léger dans sa fonction
- il a été fabriqué en Normandie
- Juste un bémol pour le goût car sa présidence aura été de très mauvais goût
A mon avis, la société de ce fromage devrait poursuivre Flamby car il fait une très mauvaise pub pour ce fromage : il est mou, insipide, et contrairement à ce fromage qui est désigné à base de lait cru de vache, lui, Flamby, le Moi Président, n'est plus cru et portant il est vache avec les petits, les sans-dents.
Je crains pour l'un et l'autre une production orientée vers la baisse....
Tonton22