samedi 28 février 2015

Des gens sans histoire...

Des gens sans histoire
LE DESSIN DE LA SEMAINE - Le dessinateur invité, Olivier Ménégol, a été inspiré par la destruction par Daech d'une collection de statues et de sculptures historiques dont certaines avaient été réalisées il y a plus de mille ans.
Les membres du groupe terroriste ont diffusé un reportage au titre évocateur: «Destruction des œuvres condamnables et exhortation au bien» dans lequel ils détruisent des antiquités datant de plusieurs siècles dans un musée irakien.

vendredi 27 février 2015

Michel Alet présente les poèmes de sa sœur

Michel Alet présente «Nocturnes», poésies de Marie Alet.
Dans la famille Alet, Michel, neuvième enfant d'une fratrie de quatorze, devenu agrégé d'université, avait dépeint en deux volumes la vie de sa famille au début du XXème siècle dans le Rouergue, sans savoir que sa sœur Marie, l'aînée de la tribu et fine lettrée, avait secrètement confié à un «cahier vert» les tribulations et les tourments hors du commun de sa vie de religieuse, trop intimes et tragiquement douloureux pour être partagés. Au décès de sa sœur, Michel Alet découvre le contenu du cahier en ouvrant la pauvre mallette qu'elle lui a laissée en héritage.
Il décide aussitôt de faire partager ses émotions ressenties à la lecture des «Nocturnes» comme les a intitulées Marie Alet, parce qu'écrites en grande partie la nuit, «cette poésie de braise aux multiples facettes, reflétant une personnalité ardente», que n'auraient pas désavouée Vigny, Verlaine ou Baudelaire. «Publier ces pages de ma sœur était pour moi un devoir personnel. Je me sens en quelque sorte dépositaire de ses œuvres littéraires», confie l'auteur. Le recueil de poésies de cent vingt deux pages décrit le parcours d'une religieuse «malgré elle», envoyée au couvent à l'âge de dix ans, ses doutes, sa foi, ses dilemmes, ses frustrations de femme «Femme parmi les femmes / Avec mon cœur / Mon corps, et mes tourments de femme / Et ma faiblesse», et qui se fit relever de ses vœux par Rome avant de se marier plus tard. Un témoignage bouleversant et tout en délicatesse écrit à quatre mains sur un temps où la condition des filles, bouches inutiles à nourrir et qu'il fallait «caser», se résumait à l'aide aux tâches domestiques et aux soins des plus petits. Comme toujours, le livre est illustré de nombreuses photos de famille en noir et blanc et d'une sélection des peintures de l'auteur qui illustrent le propos. L'ouvrage est vendu dans les librairies Guillot et Transparence à Albi ou auprès de l'auteur (michel.alet@yahoo.fr ou site : michel-alet.com). 

jeudi 26 février 2015

Nouvelle catastrophe !

au-secours-attali-prepare-un-programme-pour-2017

Sauve qui peut ! Attali prépare un programme pour 2017 !

 

La France va mal, accablée de charges, après bientôt 3 ans de socialisme. Elle n’avait pas besoin d’une nouvelle catastrophe ! Et pourtant, on apprend que Jacques Attali, le conseiller économique de Mitterrand – avec le succès que l’on connait –  travaille sur un programme présidentiel pour 2017 :

mardi 24 février 2015

Saveurs du Tarn...

Résultats du CGA Vins de Gaillac : 4 médailles pour Domaine Carcenac et 1 médaille pour le Domaine Barreau. Demain, sur le stand J106, venez déguster les vins primés!

lundi 23 février 2015

L'aigri-culture une bousculade...

François Hollande inaugure le Salon de l'agriculture samedi. Le chef de l'État a annoncé des mercredi, en conseil des ministres, des mesures en faveur des agriculteurs: les exploitants pourront par exemple créer ou agrandir plus facilement les élevages de volailles.
Embouteillage en vue mercredi: le même jour que Nicolas Sarkozy, Marine Le Pen sera présente au Salon de l'agriculture. La patronne du FN mise sur le ras-le-bol des agriculteurs pour prospérer dans les zones rurales. Et ça marche: en 2012, la présidente du Front national a recueilli 19,5% de voix dans le monde rural, un score en continuelle progression.

J'espère que la petite fille à qui Hollande avait dit "Sarkozy, tu ne le verras plus", viendra faire un tour au salon, pour avoir la preuve du mensonge de Hollande.

dimanche 22 février 2015

Pas égaux devant l'indignation...

Avis aux journalistes ignares qui continuent à prétendre être capables de nous informer : en France il n'y a pas de "cimetières chrétiens". En Algérie et au Maroc, oui. En Arabie saoudite, pas du tout.
Les socialistes affirment lutter contre "les inégalités". Certes, mais faut quand même pas pousser trop loin.

Avez-vous remarqué ?
Pour un cimetière juif, la presse dit : Profanation .
Pour un cimetière "ordinaire" : Dégradation . 

samedi 21 février 2015

Une épicière au paradis

Un chaleureux local provisoire pendant les travaux.Cinq mois après le début des travaux prévus pour une durée d'environ un an dans l'immeuble commercial de la rue Sicard Alaman, celui-ci commence à afficher une façade plus avenante derrière ses échafaudages. Deux locaux provisoirement aménagés sur les quatre en rénovation au rez-de-chaussée abritent actuellement l'épicerie en attendant la remise en état de la boutique. Une étape sans douleur pour l'épicière Patricia Azémar qui déclare «être passée de l'enfer au paradis dans un local neuf, propre, chauffé, équipé de l'eau courante et de toilettes». Un sans-faute donc pour la municipalité, maître d'œuvre, et pour les entreprises qui devaient composer avec toutes les contraintes d'un chantier ouvert au public «des ouvriers fabuleux qui font tout pour rendre l'opération indolore, poursuit l'intéressée, nullement pressée de regagner son ancien local, si ce n'est pour récupérer une surface plus importante et pour le bien-être des clients gênés par les petits désagréments collatéraux et les difficultés de stationnement». Retour au bercail en avril, peut-être, selon les bruits qui courent ? Patricia Azémar l'ignore, mais en attendant elle reconnaît «avoir reçu un beau cadeau de Noël». Un avis que semble partager le chat de la voisine qui cherche toutes les occasions de s'inviter dans ce nid douillet, en particulier au moment de la pause-café ou boissons chaudes à 1€ proposées depuis peu le matin aux clients pour se réchauffer avant d'attaquer la journée !
 F.P

vendredi 20 février 2015

Trois montures qui...

Nicolas Sarkozy a-t-il bénéficié de vols facturés à la société de son ami Stéphane Courbit ?./ Photo DDMLe parquet de Paris a ouvert cette information judiciaire le 19 décembre pour abus de biens sociaux, complicité et recel au préjudice éventuel...
L'enquête s'ajoute aux nombreux dossiers judiciaires qui embarrassent l'ex-chef de l'Etat, 
étrange exercice de "transparence" imposé par François Hollande

mardi 17 février 2015

Aujourd'hui les journalistes veulent faire l'information.

© Vincent Boisot / Le Figaro
Les propos tenus par Roland Dumas sur le plateau de BFM TV sont loin d'être passés inaperçus ce lundi matin. Face à Jean-Jacques Bourdin, l'ancien ministre de François Mitterand, âgé de 92 ans, a provoqué un tollé après avoir sous-entendu que Manuel Valls était «sous influence» juive en faisant référence à la compagne du premier ministre, la violoniste Anne Gravoin.
Si après ce dérapage, Roland Dumas s'est retrouvé au coeur d'une vive polémique, Jean-Jacques Bourdin a lui-aussi atterri dans le viseur de certains. Aurait-il dû poser certaines questions? Notamment celles où il demande à son interlocuteur pourquoi «Manuel Valls n'est pas sa tasse de thé» et si le premier ministre «est sous influence juive» ?
Sur LCI, ce lundi matin, «l'homme libre» de BFM TV est loin d'avoir fait l'unanimité. Présidente de l'association Ethic et Chef d'entreprise, Sophie de Menthon a notamment déclaré que Jean-Jacques Bourdin avait réalisé un «raccourci médiatique absolument honteux», ajoutant: «C'est lamentable. C'est de la part de Bourdin que c'est scandaleux.» Même discours du côté de Maurice Ulrich, éditorialiste à L'Humanité, pour qui, «déontologiquement, la question de Bourdin est inacceptable.»

Le CSA instruit un dossier

lundi 16 février 2015

Ploucs de province...


Colette Capdevielle, député PS des Pyrénées-AtlantiquesLE SCAN POLITIQUE - Colette Capdevielle s'agace que le débat sur le travail dominical soit «très parisien». La députée PS est favorable à l'ouverture des magasins le dimanche au nom de la liberté à organiser sa vie comme chacun l'entend.

Votée samedi soir, les débats sur l'extension du travail du dimanche ont agité les rangs du Parti socialiste pendant de longues heures à l'Assemblée nationale. Des échanges au cours desquels la députée Colette Capdevielle (Pyrénées-Atlantiques) s'est illustrée par un coup de gueule repéré par La Chaîne parlementaire.
«Je suis un petit peu fatiguée que l'on vienne me dire aujourd'hui ce que doit être mon dimanche», a lancé l'élue, favorable à la loi Macron. «On va bientôt me dire et m'écrire dans des amendements ce que doit être mon lundi, mon mardi, et qu'en est-il de mon mercredi après-midi? Et de mon jeudi matin? Que faut-il que je fasse?»

«Ces provinciaux et ces ploucs de province, eux, ils vont dans les jardineries»

Mais ce sont surtout les discussions sur la création de «zones touristiques internationales» dans la capitale qui ont inspiré Colette Capdevielle. «Je suis un petit peu fatiguée que l'on vienne me dire (...) dans ce débat très germanopratin, très parisien, qu'aller au marché - bio, bien sûr - le dimanche, c'est tout à fait convenable, qu'aller au restaurant et au musée, c'est très bien ; on va même nous proposer et nous dire que ce serait formidable d'ouvrir les bibliothèques. Par contre, ces provinciaux et ces ploucs de province, eux, ils vont dans les jardineries et les supermarchés, et ce ne serait pas bien. Franchement, je le dis, j'en ai assez, véritablement assez d'entendre cela», a dit la députée.

dimanche 15 février 2015

c'est si agréable de jouer la comédie !

Chacun de nous a souvent la tentation de vouloir paraître ce qu'il n'est pas.

 Mais, ce n'est ni très confortable, ni très réaliste, car la nature reprend vite ses droits. Alors, c'est sûr, il vaut mieux rester ce que nous sommes. Humblement.

Rêve à Venise .

samedi 14 février 2015

"Dans une dictature, la caricature et l'ironie sont les derniers refuges des esprits libres" – Jean Jaurès

  Il est des arbres qui vivront encore dans le regard
                    De ceux qui apprécient par nature les œuvres d'art
                    En voilà une qui s'enracine dans le paysage
                    Et nous livre un bien mystérieux visage
                    Élégante façon de célébrer l'homme-tronc
                    Au milieu de toutes ces hautes frondaisons
                    Homme qui garde encore toute sa tête
                    Dans ce monde agité de tempêtes...

 Sivens...la nature est avec toi.
 

vendredi 13 février 2015

La question du jour

La question du jour M6infoBéziers : êtes-vous choqué par la campagne sur l'armement de la police municipale ?

jeudi 12 février 2015

Sivens : La sourde oreille des probarrage

Sourde_oreille_riverains_du_tescou_sourde_colere_la-depeche-du-midiNous remercions la Dépêche de nous fournir l’explication à l’impasse dans laquelle se trouvent les discussions autour du barrage du Sivens : les probarrage seraient, en effet, sourds ; nous comprenons à présent qu’ils ne puissent entendre les arguments du camp adverse et que, faute de communication possible de leur part, ils répondent à coups de barre de fer et de manches de pioche.
De fait, samedi et dimanche, pour rétablir la liberté de circulation autour du site du Sivens, les milices antizadistes bloquaient ladite circulation empêchant de passer quiconque l’aurait souhaité. L’énième manifestation pacifique et citoyenne de ces partisans de la démocratie qui s’ennuient le dimanche quand il n’y a pas chasse se déroulait sous la houlette de Miss barrage, à savoir Maryline Lherm, et de sa dauphine, Pascale Puibasset. Ces féministes de la première heure se font en effet représenter par des femmes à qui ils laissent volontiers la parole parce qu’elles font un peu moins de faute de syntaxe qu’eux et aussi parce qu’ils ne peuvent pas tout faire : il fallait qu’ils fassent cuire la saucisse.
barbecue-saucisse_riverains_testet_sivens_gaillac_milices_dimanche_fevrierCette dernière était fournie par Maryline Lherm qui approvisionnait aussi en vin ces courageux agriculteurs venus braver le froid (ce dont il n’ont pas l’habitude) en ce weekend vaqué. Elle leur avait promis lors de la réunion organisée à la salle des fêtes de Lisle-sur-Tarn le jeudi 5 février en présence des forces de l’ordre et du commerçant chasseur Cédric Baciecko. Nous n’avons goûté ni au vin ni à la saucisse, mais notre confrère de la Dépêche nous confiait s’être régalé ; nourritures terrestres et spirituelles se mêlaient, en partageant un bout de saucisse ils ont pu échanger sur les sangliers et chevreuils qu’ils avaient abattus cette année, histoire de ne pas perdre leur temps. Car le temps était un peu long pour eux, les zadistes et autres opposants à la retenue —  qui serait maintenant un lac (où l’on pourra aller s’oxygéner le weekend comme le stipulait en novembre dernier le sagace Jacques Valax, jamais à court d’arguments) — n’étant pas venus à la rencontre. Comme ils n’avaient pas de livres à colorier, pour se désennuyer un peu, ils se sont offert une distraction en saccageant pacifiquement le véhicule d’un riverain qui a l’outrecuidance de soutenir la position paradoxale d’être riverain du Tescou et de ne pas être favorable au barrage. Etrange raisonnement auquel ces gens-là restent sourds aussi. Eux, riverains du Tescou savent mieux que personne ce que les riverains du Tescou doivent penser, surtout quand ils sont accompagnés des amis de Charente maritime et du Tarn et Garonne selon les immatriculations des voitures présentes.
Samedi en fin d’après-midi, certains d’entre eux avaient trouvé une autre distraction, leur offrant l’occasion d’exprimer leur féminisme à l’encontre de jeunes femmes à l’allure suspecte (un peu très chevelues, même pour des femmes). Le port de la cagoule n’étant pas une condition sine qua non pour se faire agresser par ces miliciens, ils ont menacé, pour leur bien, ces jeunes femmes au visage découvert qui semblaient faire du stop. Elles ont mieux à faire que de traîner seules sur les routes, de la vaisselle les attendait sans doute quelque part. Les gardes mobiles présents lors de l’agression ont pu admirer avec quelle dextérité un gentil papy maniait le tournevis pointé vers ces deux femmes.
Heureusement il faisait beau ce weekend, mais comme il faisait froid aussi, ces gentils miliciens avaient troqué leur casquette pour des cagoules. Celles qu’ils portent n’ont néanmoinSSe rien à voir avec celles des pelluts (ces derniers ont assez de leurs cheveux et de leurs poils pour se protéger du froid, le port de la cagoule ne peut donc répondre, de leur part, qu’à des intentions belliqueuses).
bande_de_saucisse_puybasset_violences_menaces_exactions_sivens_barrage

mercredi 11 février 2015

inacceptables ...

BFMTV-Marseille-Valls-Des tirs inacceptables-09.02.2015

C'est le mot, oui : "des tirs inacceptables"

Les fâcheuses rafales de kalachnikov entendues en plein Marseille, en plein jour, en plein dans sa visite destinée à célébrer les progrès de ses mesures sécuritaires dans cette ville, ont été jugées inacceptables par notre sémillant premier ministre. Si ça ce n'est pas parler en politiquement correct, je me demande ce qui le sera.

Inacceptable aussi, la hausse de 20% du nombre de chômeurs depuis la prise de fonction de monsieur Hollande.
Inacceptable aussi, la réforme des rythmes scolaires qui pompe le budget des communes, alors que quatre mois après sa mise en place (sept. 2014), les priorités pour l’École sont devenues la discipline, le respect des maîtres, l'éducation civique, le port de l'uniforme, chanter la Marseillaise !
Inacceptable, que le président qui s'est fait élire avec la promesse de s'attaquer à un unique adversaire, la finance, n'ait pas encore pensé, après deux ans et demi en poste, à engager ce combat.
Inacceptable, que les gugusses qui prétendent gouverner osent se foutre de la gueule du peuple à ce point.
Inacceptable que ce peuple continue à préférer courber l'échine en silence plutôt que se révolter.

 

mardi 10 février 2015

vrai ou faux


Les enfants de trois ans entendent moins de mots dans les familles pauvres ?

D'après la ministre de l’Éducation, "à trois ans, un enfant aura entendu et pratiqué trois fois moins de mots s'il est d'une famille pauvre que s'il est d'une famille riche, et cet écart se creuse avec le temps". Plutôt vrai.

Plutôt vrai

Au  moment de commencer l’école, un enfant d’une famille modeste aura entendu beaucoup moins de mots que celui d’une famille aisée. C’est ce qui ressort en tout cas de plusieurs études menées à l’étranger. La plus souvent citée, celle qui fait autorité sur la question, vient des États-Unis.

Trois fois plus de mots

"The early catastrophe" a été publiée en 2003 sur la base d’entretiens d'une heure par mois pendant plusieurs années avec 43 familles américaines. Résultat : en une heure, un enfant de parents qui vivent d’allocations entend en moyenne environ 600 mots, contre 1.200 dans une famille modeste et plus de 2.000 mots pour un enfant de parents riches.
La différence est importante, d'autant que d'après les chercheurs, un enfant de trois ans utilise à 90% les mots qu’il a entendu de la bouche de ses parents.

Pas les mêmes mots

Cette étude a aussi remarqué des différences sur le type de mots utilisés. Alors que les familles riches américaines font six encouragements pour un reproche à leurs enfants, les parents des familles pauvres ont tendance à utiliser plus souvent les reproches que des encouragements.

Le fossé perdure dans le temps

Une différence qui se creuse effectivement dans le temps. A l'âge de 9 ans, les enfants de familles pauvres avaient moins de vocabulaire et plus de difficultés de lecture et de compréhension que les enfants issus des autres familles. En clair : l’école américaine n’avait pas réussi à gommer les différences sociales entre les enfants.

 

lundi 9 février 2015

quel froid !!!

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Quel froid !!!
La vie d'oiseaux est identique à ...  en cette période hivernale,
On se tire à grands coups d'ailes comme si ...le froid et le manque de feuilles aux arbres étaient responsables!.
En politique c'est de même,
Le froid reste dans toutes décisions...
On attend le découragement et celui qui est le plus fort pour dire comme lui.
Élus par nous...Pauvre de nous !!!  

dimanche 8 février 2015

langage courant

Des zadistes se rendent à un rassemblement sur la «zone à défendre» de Notre-Dame-des-Landes, en avril 2013.

Comment le mot «zadiste» s'est intégré dans le langage courant

INFOGRAPHIE - D'un terme juridique peu utilisé, le mot «ZAD» a donné naissance aux «zadistes» de Notre-Dame-des-Landes. Une formule désormais appliquée à tous les opposants aux projets environnementaux de grande envergure.

 Au départ, la ZAD pour zone d'aménagement différé

 Une palette affiche «Bienvenu à la ZAD» sur le site de Notre-Dame-des-Landes.L'évolution de l'intérêt pour la recherche des mots zadiste, zad, nddl et Sivens

samedi 7 février 2015

Indécent !

hollande-surfe-sur-la-vague-du-11-janvier-indecentAvec cette conférence de presse totalement inutile, Hollande tente de surfer sur la vague d’émotion du 11 janvier !

Quel spectacle de voir tous ces journalistes, bien alignés comme dans une salle de classe, se rendre complice de cette opération de communication ! Et ce matin, quelle pitié que d’entendre ces mêmes journalistes s’extasier devant ce président qui a enfin endosser le costume de sa fonction !


Donc après cette conférence de presse :
  • Les chômeurs pourront retourner chômer,
  • Les entreprises pourront continuer à mourir ou à se délocaliser,
  • Les Français pourront continuer à avoir peur en prenant le train,
  • Les délinquants pourront continuer à se balader en liberté,
  • Christiane Taubira pourra continuer à en libérer de nouveaux,
  • Marisol Touraine pourra continuer à détruire la médecine libérale,
  • Etc … etc

vendredi 6 février 2015

jeudi 5 février 2015

panneaux bilingues

Nouveaux panneaux bilingues aux entrées du village .Les panneaux d'entrée du village de Castelnau-de-Lévis sont doublés depuis le début de l'année de panneaux en langue occitane reprenant le nom d'origine du village nommé en 1256 «Castèlnòu de Bonafòs» du latin «Castel neuf», bâti sur une butte, le «Puy de Bonafòs». Un puy est un mont, un site surélevé, ici parmi les derniers contreforts du dôme de la Grésigne, résultant des soulèvements alpin et pyrénéen de l'ère tertiaire ; le patronyme «Bonafòs : bonne fontaine» trouve son origine dans un puits qui se serait situé à l'est du château en bordure du versant du coteau. Cette nouvelle signalisation est une référence aux origines de la cité, puissante seigneurie en Albigeois au Moyen Âge, alors que Castèlnòu de Bonafòs est devenu Castelnau du Tarn sous la Révolution pour être baptisé Castelnau-de-Lévis au XIXe siècle, du nom de la dynastie des Lévis qui y régna de 1297 à 1474.

mercredi 4 février 2015

le gâchis alimentaire


Un procès symbolique ce mardi devant le tribunal correctionnel de Montpellier, celui de trois personnes accusées de vols de nourriture périmée jetée par un supermarché de Frontignan.

 Ce 27 mai 2014, le réfrigérateur est vide. Adrien, Mike et Léa qui vivent dans un squat à Montpellier et n'ont que quelques centaines d'euros chaque mois pour vivre décident de faire la tournée des supermarchés qui le soir jettent leurs invendus dont la date de consommation est dépassée.
Le trio se rend à Frontignan, à une vingtaine de kilomètres de Montpellier. Et ramasse comme ils en ont l'habitude plusieurs poubelles laissés par Intermarché. Le problème c'est que ces poubelles se trouvent dans la cour intérieure du magasin. Le procureur de la république considère donc qu'il y a vol.
L'avocat du trio, M°Jean-Marc Gandini plaidera lui l'état de nécessité :

L'état de nécessité les a contraint de se nourrir de cette façon-là. Le scandale c'est que dans la France de 2015, autant de personnes se nourrissent en faisant les poubelles".
 

mardi 3 février 2015

Agriculture monde du ...



Village agricole.

Où se trouve ce bon vieux temps, où la circulation était plus attentive aux problèmes ruraux avec le passage de troupeau sur la voie publique. C’était juste quelques bouses de vaches ou crottes de chèvres sur leur passage selon les régions, avec une certaine patience de l’automobiliste pour laisser passer  ce monde d’hier.


Aujourd’hui  dans le monde des quatre roues motrices, on trouve des écritures en Français basique, sur des arbres, sur des panneaux de signalisation, une certaine dégradation gratuite faite de nuit bien sûr ! La preuve d’une certaine franchise, du mécontentement des idées de l’autre, le pouvoir de puissance du (moi, je travaille !)… cela me donne le « sourire », comme le mal de dents qui ne se voit pas pour l’autre en face de vous. 

Sivens : les milices pro-barrage agissent dans l’impunité alors que l’expulsion de la Zad se dessine

 

    Sur ce comportement récurrent des milices et de la gendarmerie, les syndicats d’agriculteurs pro-barrage ne disent mot, ou plutôt avertissent comme toujours que si le projet ne se fait pas et la ZAD n’est pas évacuée, ils ne seront pas en mesure de retenir des velléités violentes de certains agriculteurs et déplorent que l’Etat n’intervienne pas plus rapidement. S’ils n’appuient pas ouvertement ces comportements, ils ne les remettent en cause à aucun moment et nous avons pu observer une certaine bienveillance de la part des responsables agricoles sur de telles actions d’intimidation